samedi 29 mai 2010

Je sais pas priez, priez pour nous Marie - Amen.


Brainstorming :

Mère, amie, meilleure, déception, attente, solitude, suicide psychologique, cancer, scorpion, cancer ?, « anneniye », « ma 7a toussale la matrah », mockingbird, neutre, indifférence, faire semblant, émotions, suicide, bas, bas, plus bas, plus profond. BOOM !


“La nécessité de comprendre que la tragédie n’est pas une punition, mais un défi à relever. »

Je ne parle en aucun cas de tragédie personnelle, je parle de tragédie de la vie. La vie en soi. La vie elle-même.

On vit en essayant tous les jours, avec persévérance, de donner un sens à la vie.
Un sens qui est peut être notre moteur d’espoir.
Un sens qu’on cherche dans les détails.
Un sens qui n’est finalement jamais assez vrai, assez réaliste, ou assez consistant.

On vit, on essaie et on cherche, en oubliant que le temps passe, et qu’il y a des choses dans notre vie qui mérite beaucoup plus d’importance que donner un sens a la vie en général.

Parce que depuis quelques jours,
Des milliers de regards me transpercent le cœur,
Des milliers de mots me violent,
Et des milliers de pensées m’obsèdent,
Comme un démon quia trouve son plus grand régal.

On essaie de donner le meilleur de nous même, ce n’est jamais assez.
On essaie d’aimer à notre propre manière, ce n’est jamais juste.
On essaie de comprendre, même au delà de nos limites, ce n’est jamais suffisant.

Tout simplement : On essaie, ce n’est jamais.

Plus ce n’est jamais, plus je perds espoir.
Plus ce n’est jamais, plus je me suicide psychologiquement.
Plus ce n’est jamais, plus je me viole moi-même.

Je me viole moi-même en faisant semblant de ne jamais être atteinte par tous ces tourments, ces disputes, ces amours malsains qui me touche, directement ou indirectement.

Je me viole moi-même en me disant que si c’était mon maximum, et que c’était encore le minimum, je continuerais mon chemin aussi malheureuse ? Aussi dénudée ?

Même mes textes, mes mots, ces mots magiques qui me reposaient auparavant, ne font que m’enfoncer encore plus.

Eux aussi, ont été violes et mis à nu, pour avoir essayé de dire ce que je ressentais.

Je ne parle en aucun cas de tragédie de la vie, je parle de tragédie personnelle. Ma mort psychologique elle-même. Ma mort elle-même.

PS : Mort Psychologique, et seulement psychologique, pour les plus sensibles.

mardi 25 mai 2010


Jean-Baptiste Valadie


Le Luxe, ce n'est pas le contraire de la pauvrete mais celui de la vulgarite.

-Coco Chanel-

" Fool me once shame on u, Fool me twice shame on me "


C’est bizarre comme on se surprend a remplacer les paroles des chansons d’enfants par des paroles inventées dans notre monde adulte.

Comme cette fameuse « 3km a pied, ca use, ca use, 3km a pied, ca use les souliers ».

Sous le même rythme, je me suis entendue chanter: « Un peu trop d’patience, ca use, ca use, un peu trop d’patience, ca use l’amitié ».

Et bien, je devais peut être pleuré, mais ca m’a fait sourire.

Ca m’a fait sourire de voir qu’on continue à découvrir les personnes les plus proches de nous, jours après jours, disputes après disputes.

Ca ma fait sourire de me rendre compte a quel point les gens peuvent être centres sur eux-mêmes, tellement centres sur eux-mêmes, qu’ils finissent par faire les mêmes erreurs qu’ils vous avaient auparavant reproches.

Et bien, auparavant j’aurais pleure, maintenant j’en ris.

J’en ris parce que la seule chose a laquelle je me suis faite dans cette vie, c’est de voir les gens entrer et sortir dans ma vie quand ils veulent, comme ils veulent.

J’en ris parce que vous avez le choix, et c’est ce que j’ai appris cette année.
Le choix.

Alors vous voulez partir, partez.
Vous voulez rester, restez.

Jamais je rattrape quelqu’un.
Jamais je regrette quelqu’un.

Je suis moi, je reste moi.
Avec ou sans Vous.

25 Mai 2010 -

lundi 24 mai 2010

La fameuse page blanche.


Mes émotions sont présentes,
Ma frustration est extrême,
Le manque est envahissant,

Et pourtant… aucun texte ne veut prendre forme.

Mes mots sont absents.

Comme les battements de ton cœur que je n’entends plus.
Comme le sourire sur tes lèvres que je ne vois plus.
Comme ses étincelles d’espoir dans tes yeux que je perçois plus.
Comme tout cet amour que je ne sens plus.

Et pourtant… aucune distance ne m’éloignera.

Tu vis loin de moi, mais en moi.

« Quand j’aime une fois, j’aime pour toujours…-F.C. »

vendredi 14 mai 2010

Ma3loumet Akideh, hel marra akide.


Les visages familiers me paraissent étranges,
Mes habitudes me paraissent nouvelles,
Mes passions perdent leurs flammes,
Et mes sourires deviennent de plus en plus fades.

Je regarde autour de moi,
je ne perçois aucune lueur,
aucun sourire,
aucune main tendue,
aucun chemin clair.

Puis je me répète et répète, ce que je me suis tout le temps répétée :
- Ne compte que sur toi-même.

Mais non, je ne l’intègre pas cette putain d’idée.

Un peu trop humaniste, un peu trop naïve, out tout simplement pas terre-à-terre ?

Je ne sais pas.

Ou plutôt ?

Je ne veux pas savoir.

- 14 Mai 2010.

jeudi 6 mai 2010

" Ya laure hobouki.."


“ L’amour ignore sa profondeur jusqu’a l’heure de la séparation” -Gibran Khalil.

Depuis que tu es parti…
Ma vie n’a plus le même gout,
Mes couleurs n’ont plus le même éclat,
Ma joie n’a plus la même intensité,
Mon cœur n’a plus les même battements,
Mon corps n’a plus les même frissons.

Depuis que tu es parti…
Mes matins manquent d’espoir,
Mes nuits manquent de magie.

Pour touts ces sourires que tu as dessiné,
Pour toutes ces larmes que tu as effacées,
Pour tout cet amour qu’on a partagé,
Pour toute cette haine qu’on a éloignée,
Je t’attendrais.

Pour touts ces secrets gravés dans mon cœur,
Pour touts ces voyages brulés sur mon corps,
Pour toutes ces étincelles que tu as illuminées,
Pour touts ces feux que tu as fait flambé,
Je t’attendrais.

Je t’attendrais, aussi longtemps que j’ai attendu pour te trouver.

vendredi 30 avril 2010

" Parle nous des enfants "


Vos enfants ne sont pas vos enfants.
Ils sont les fils et les filles du desir de la Vie pour elle meme.
Ils passent par vous, mais ne viennent pas de vous.
Et bien qu'ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas.

Vous pouvez leur donner votre amour, mais pas vos pensees,
Car ils ont leur propre pensees.

Vous pouvez loger leurs corps, mais pas leurs ames,
Car leurs ames habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter, pas meme en reve.

Vous pouvez vous efforcer d'etre semblable a eux, mais ne cherchez pas a les rendre semblables a vous,
Car la vie ne revient pas en arriere et ne s'attarde pas avec le passe.

Vous etes les arcs a partir desquels vos enfants, telles des fleches vivantes, sont lances.
L'Archer vise la cible sur la trajectoire de l'infini, et Il vous courbe de toutes ses forces afin que les fleches soient rapides et leur portee lointaine.
Puisse votre courbure dans la main de l'Archer etre pour l'allegresse,
Car de meme qu'Il cherit la fleche en son envol, Il aime l'arc aussi en sa stabilite.

Gibran Khalil-

jeudi 29 avril 2010


" CE QUI TOUCHE LE COEUR SE GRAVE DANS LA MEMOIRE " - Voltaire

dimanche 18 avril 2010

Mode d'emploi *


Deteste moi si je ne t'aime pas a en mourrir.
Deteste moi si je ne dessine pas tes sourires.
Deteste moi si je te ramene en arriere.
Deteste moi si je ne t'aime pas plus qu'hier.

Aime moi, comme toute la haine qui pourrais t'envahir un jour.

Let me grow up..



Jusqu'a qu'on vous efface.

jeudi 15 avril 2010

Identite meurtiere!


Nom: Chevallier

Prenom: Laure

Surnom: Lourette, gazelle, jesus.

Date de naissance: 15 Avril

Lieu de Naissance: le 80 quiiinnnnze!

Qualite: Pleine de vie.

Defaut: Jarriv dans 5 minutes je jure!

Probleme existentiel: C'est quoi l'amour?

Citation: Jsui pa alcolo jsui ecolo, jboi dlalcool pour preserver l'eau! ;)

Meilleurs moments: pastequage et bourrage de gueule avec pauline et hadil

Passe-temps favori: prier et discuter avec Jesus.

IL A DIT...

QUE LES VENTS DES CIEUX PUISSENT DANSER ENTRE VOUS... Gibran Khalil.

With Love, to lili's Love.

- 15 Avril 2010.

mardi 13 avril 2010

Faisons l'amour, pas la guerre



Tenzakar w ma ten3ad, comme on dit.

13 Avril 1975.
13 Avril 2010.

dimanche 11 avril 2010

Pulsions de vie,Pulsions de mort -


Envie de pleurer, de rire et sourire.
Envie de desirer, d'aimer et de souffrir.

Envie de manger, grignoter et grossir.
Envie de tout rejetter, expulser et vomir.

Envie d'amour, d'amitie et de haine.
Envie de joie, de bonheur et de peine.

Envie de chanter, danser et sauter.
Envie de crier, casser et taper.

Envie de me battre pour l'eternite.
Envie de tout laisser tomber.

Envie de rever, rever et rever.
Envie de dormir, et plus jamais me reveiller.

Envie de drogue, d'alcool et de cigarette.
Envie de briquet, de feu et d'allumettes.

Envie de faire l'amour, le faire passionement.
Envie de faire la guerre, de la faire violemment.

Envie de te dire je t'aime.
Envie de te balancer toute ma haine.

Et parallelement a ce monde...

Envie de t'attraper la main.
Envie d'aller au loin.. Au loin..*

Folie de lui..*


C'est fou comme de simples souvenirs
Peuvent nous faire perdre nos rires
Nos Larmes commencent soudainement a couler
Et on a brutalement envie de s'eclipser...

C'est fou comme de simples touchers
Peuvent encore nous faire frissoner
Nos larmes commencent soudainement a couler
Et on a dangereseument envie de s'eclipser...

C'est fou comme de simples baisers
Peuvent encore nous enflammer
Nos larmes commencent soudainement a couler
Et on pense deja a s'eclipser...

Pourquoi tout ces vers?
Pourquoi ce ton amer?
Je pourrais tout te dire,
En mettant le Toi en apostrophe...

C'est fou comme sans "Ta" presence
Toute ma vie est une inconstance
Mes larmes sont soudainement en train de couler
Parce que sans "Toi" je suis eclipsee.

Geant De Papier.


Tres souvent, dans ce petit bout de chemin que j'ai suivi jusqu'a maintenant, on m'a demandee qui tu etais.

Tres souvent, dans ce petit bout de chemin que j'ai suivi jusqu'a maintenant, on m'a demandee pour qui je vivais.

Je n'ai jamais su repondre, ou plutot je n'ai jamaisvoulu l'ecrire.
Parce que mes mots avaient un gout amer.
Parce que mes lettres avaient un gout d'adieu.

Mais tu sais grand pere, toi aussi tu as le droit a ces petits mots qui sortent droit de mon coeur.
Parce que sans toi mon grand heros, je ne serais jamais ce que je suis aujourd'hui.

Tu m'a appris la vie. Ces petits bonheurs, ces grands malheurs.
Tu m'a appris l'amour. Ces grands bonheurs, ces petits malheurs.
Tu m'a appris les reves. Leurs petites passions,leurs grandes ambitions.
Tu m'a appris mes mots. Leurs grandes passions, leurs petites ambitions.

Tu m'a appris a grandir.

Et aujourd'hui, j'ai grandis.
J'ai grandis pour a mon tour te dire..

Que le Bonheur n'a ni echelle ni critere,
Que le bruit sourd de la Terre ne pourra jamais enterrer mes reves,
Que la societe, malheuresement, denature l'homme, elle ne l'humanise pas.


Et aujourd'hui, je grandis encore.
Je grandis en cherchant cette humanite que la societe m'a enlevee.
Je la cherche et la puise dans tes yeux grand-pere.

A mon geant de papier,
A celui qui m'a ouvert le monde a travers ses yeux,
A celui qui m'a appris aaimer, d'un amour inconditionnel...


With Love.

samedi 3 avril 2010

Passez moi le sel de ma vie, avec lui.


" Quand tu deviendras femme... Pour mon eternite. "


14 Mars 2010-

Elle -



" L'amitie est une religion sans dieu, ni jugement dernier. Sans diable non plus."


Elle n'aime pas les hypocrites.
Elle n'aime pas les menteurs.
Elle n'aime pas les personnes en retard.

Elle aime danser.
Elle aime decouvrir.
Elle aime apprendre.

Elle n'aime pas se sentir en echec.
Elle n'aime pas la malhonnetete.
Elle n'aime pas le diet pepsi (aspartin oblige)

Elle aime l'organisation.
Elle aime son caractere de leader.
Elle aime son ordinateur.

Et Moi...
Je l'aime.
Avec ce qu'elle aime, et ce qu'elle aime pas.

A ma P.B, also know as: ma femme :)

3 Avril 2010-

vendredi 2 avril 2010

Remonte le fleuve, les souris dansent la polka.


Hey Best Friend.

Je ne t'ecris pas souvent, je sais.
Mais c'est un peu les erreurs qu'on fait a trop aimer. On essaie d'oublier.
Tu manques a ma vie. Je te l'ai deja dit je sais. Mais, c'est bien toi qui m'a appris qu'il fallait toujours dire les choses quand on les ressent, parce que ca peut etre la derniere fois.
Mais je ne le faisais pas souvent, d'ailleurs je ne le faisais plus, et tu as eu raison, c'etait la derniere fois. Ou je me suis retenu de te dire je t'aime plus que tout, comme elle chante "comme un homme que je ne suis pas".

Sinon, de mon cote, ca se passe bien, en general.
Sinon, de mon cote, ca se passe pas tres bien, dans les details.

Toi aussi, je sais.
Comment? Intuition feminine, comme je te le dis tout le temps. Je sais que ca t'enerve, mais c'est vrai que nous les femmes on a le don de sentir vos etats d'ames.

Ok, Ok, j'arrete de "etfalsaf". Meme si tu m'aimes quand je "etfalsaf". Parce que ca te donne l'impression de voir une petite fille qui se revolte pour prouver que Barbie est plus importante que Ken.

Sinon, de mon cote, ca se passe bien, en general.
Sinon, de mon cote, ca se passe pas tres bien, dans les details.

J'ai grandi, tu sais. Et la je t'ecris du canape violet. Qu'on aimait bien tous les 2.
Ce canape ou brule nos petits secrets, ce canape ou brule nos larmes silencieuses, nos grandes disputes, notre amour malsain, notre fusion insense.
J'ai grandi, tu sais. Et je t'ecris du meme canape violet.

Il est rentre de voyage pour 4 jours, elle n'a pas change. Toujours le meme environnement malsain qui me mettait hors de moi. Et il n'y avait que toi pour me reconforter et me dire " Patiente ma p'tite poupee, chaque chose en son temps"

Et bien, elles sont ou toutes ces choses qui etaient supposees etre la a temps?
Rien a changer.

A part 2 grandes choses.
La premiere je m'abstient de te la dire.
La deuxieme, tu n'es plus la.

Tu sais, ce n'est plus la meme chose sans toi. Je ne trouve plus d'endroit qui me protege contre le vent, la pluie, la neige.
Ce n'est plus la meme choses sans toi. Je ne trouve plus de securite, d'amour et de bonheur inconditionnel comme ceux que tu m'offrais.

Mais la vie continue.
Et je continuerais a t'ecrire.

Toujours dans mes pensees, et jamais dans mon passe.
Je t'aime <3

Urs. En sang.

2 Avril 2010-

Che..ri!


" Un revolutionnaire ne demissione jamais. "

Bel Nessbe la Boukra Shou?



La2an kil wahad 3ayesh bhal balad.. biess2al 7alo.. Bel nessbe la boukra shou? 7areb? Salem? Sahar? Aw enfijarat?

samedi 27 mars 2010

Damn, i wish i was high!


" Il pleure dans on coeur, comme il pleut sur la ville. " - P.V.


Ce n'est pas parce qu'on a tout, qu'on est heureux.
Ce n'est pas parce qu'on a rien, qu'on est malheureux.

Ce n'est pas parce qu'on est heureux, qu'on a pas le droit d'etre malheureux.
Ce n'est pas parce qu'on est malheureux, qu'on a pas le droit d'etre heureux.

Et vice versa, comme on dit.
Et vice versa, comme on vit.

Y en a qui... et d'autres qui... C'est la vie. Et c'est comme ca.

Il y a juste des jours, ou meme si le soleil brille, le ciel est nuageux.

Comme aujourd'hui.
Ou meme mes mots me laissent seul.

27 Mars 2010-

Etrangle moi de Solitude-


Ps: Contenu fort pour les personnes sensibles. Parental control :)

Poupee de Porcelaine pleure,
Poupee de Porcelaine crie,
Poupee de Porcelaine gemit,

Mais personne ne l'entend.

Poupee de Porcelaine etouffe,
Poupee de Porcelaine souffre,
Poupee de Porcelaine se dechire,

Mais personne ne vient.

Poupee de Porcelaine saigne,
Poupee de Porcelaine se brise,
Poupee de Porcelaine se detruit,

Mais personne ne comprend.

27 Mars 2010-

jeudi 25 mars 2010

Du brut, pour les brutes -

"Enfer chrétien, du feu. Enfer païen, du feu. Enfer mahométan, du feu.
Enfer hindou, des flammes. A en croire les religions, Dieu est né rôtisseur."

On grandit et on apprend. Heureusement qu’on apprend.
Pour découvrir que tout ce qu’on nous raconte est insensé, illogique, et extraordinaire.

On nous apprend que la religion est la perfection.
On nous apprend que la religion est le bonheur de l’homme, et l’essence de la vie.
On nous apprend que la religion est le temple sacré de l’amour, le lit eternel de la mort.

Et puis un jour, j’ai ouvert les yeux.
J’ai enfin ouvert les yeux pour me rendre compte que cette perfection était erronée, qu’elle était le malheur de l’homme et l’essence d’une vie sans ambitions.
J’ai enfin ouvert les yeux pour me rendre compte que ce temple ne tenait a peine debout, et que le lit eternel avait comme drap du feu qui nous brulera éternellement pour n’avoir pas fait les choses a la perfection.

Et bien, pour demander la perfection, il faut l’avoir.

Entre toutes ces guerres, toute cette haine qui prend la place de l’amour, toutes ces mères qui perdent leurs enfants, parce que soi disant c’est la volonté de dieu et le destin, moi je crois a l’humanité, pas a la religion.
Parce que jusqu'à maintenant, je n’ai vu aucun miracle, jusqu'à maintenant, je n’ai vu aucune personne croyante heureuse.

Non seulement on nous demande de croire a des gens qu’on a jamais vu, mais en plus on n’a absolument pas le droit de ne pas croire a ces histoires à dormir debout.

La religion, c’est tout simplement être soi même, être en accord avec nous même, aimer sans attendre, donner sans recevoir.
La religion, c’est tout simplement ce sentiment d’être en vie qui nous accompagne chaque seconde ou on respire.
La religion, c’est tout simplement cette lueur d’espoir qu’on perçoit dans les yeux des personnes qu’on aime. Qu’on voit. Avec qui on vit.

Mais bien sur, chacun sa propre façon de croire, d’aimer, de vivre, d’accepter les choses, de se soumettre ou de refuser.

25 Mars 2010-

dimanche 7 mars 2010

" Nazl El Sourour "


Il y a des jours ou je culpabilise d’écrire, pour des raisons qui resteront entre moi et moi-même.
Mais quand ma patience atteint ses limites, cette culpabilité je la mets de coté.

C’est un peu la phase « je m’oblige à écrire », parce que ce n’est que comme ca que marche la cure pour ignorer ce qui m’entoure.
C’est difficile je pense de tout faire pour ignorer ce qui vous entoure, quand même chez vous, vous a besoin d’ignorez.
Parce qui si je n’ignore pas, ca n’en finit pas.

On atteint un bout de chemin dans la vie, ou on ne peut plus continuer dans le même cadre. On a besoin de grandir seul, d’évoluer seul, de tomber seul, d’aimer seul, d’être briser seul.

Mais tant qu’il y a des personnes qui vous suivent comme votre ombre, les choses se compliquent.

Elles se compliquent a un tel point que plus aucun discours n’a de sens, plus aucune remarque n’est prise en compte, et chacun est tellement enfermé dans sa bulle d’idées, que les oreilles n’existent plus… et la… on retombe encore dans le même enfer de cercle vicieux.

Un cercle vicieux ou je ne me suis pas vu entrer, mais ou j’essaie, de toute mes force, de m’en sortir.

Je peux être prisonnière de mes émotions, prisonnière de mes actes, prisonnière de mon caractère, et même prisonnière de toute une société, mais jamais, et je précise bien jamais, j’ai été, et je serais, prisonnière de ma liberté de penser.

Il y a des gens qui pensent qu’en me rabaissant ca me détruit.
Mais moi je pense qu’en me rabaissant, vous me construisez.

Vous construisez en moi un courage de continuer, un courage de continuer à être ce que je suis, et une réalité qui ne me rabaisse pas, mais qui me remonte. Cette réalité qui fait mal à entendre.
Mais jamais aucune réalité n’est facile à entendre : Je ne serais jamais comme vous.
Je ne serais jamais une personne vide qui vit le présent en ayant les pieds dans le passé.

Parce que ma seule croyance, c’est qu’on n’est pas responsable de ce qu’on est, on est responsable de ce qu’on devient.

Et ce que je deviens est peut être pas ce que vous avez voulu que je devienne, mais je pense qu’il est trop tard a 20 ans de remouler quelqu’un.
Ce n’est pas moi le problème, avec toute objectivité.
C’est votre échec que vous voyez dans mes yeux.
Votre échec qui vous suivra. Votre échec qui m’a appris tellement de choses dans la vie, cette vie où pendant un moment je n’ai jamais voulu être.

Mais plus les choses se compliquent, plus mon courage de continuer grandit.

Continuez à me traiter de tout ce que vous voulez, continuez à me dire tout ce qui ne fait jamais plaisir à entendre, continuez a essayer de change ce que je suis.

Parce que tant que vous continuez, je continue.

Je continue à être ce que je suis. - H.M-

7 Mars 2010-

lundi 22 février 2010

" Elle rentrera blessee, dans les parfum d'un autre.."


Ce n’est qu’en t’aimant, que j’ai découvert que l’amour a différentes formes et différentes conceptions. Si la conception de l’amour est différente dés le début dans une relation, elle sera différente jusqu'à la fin, même si cette conception peut être remise en question des fois.

Je ne peux ni te parler ni te voir ni te regarder.
Tout ce que j’ai droit de faire, c’est t’écrire des mots que tu ne liras jamais.

Tu manques à ma vie, à mes délires, mes rires et mes sourires.
Tu manque a mon cœur, a mes pensées, mon monde insensé, et mon passé.

Apres 8 ans, tout s’efface, tout s’effondre, tout se perd.
Ca n’a pas de sens.
Ou plutôt je n’arrive plus à en trouver le sens.

Je n’ai aucune goutte d’encre dans mon stylo quand il s’agit de toi, mais j’ai toutes les gouttes d’eau dans mes yeux quand il s’agit de toi.

Ton absence me déchire, mais la vie continue.
Ton absence me vide, mais la vie évolue.
Ton absence me fait souffrir, mais la vie mue.

Revenir ne fera que te blesser, et partir me blesse à moi.

Mais il y a des moments ou toute décision est mauvaise, il faut choisir celle qu’on regrettera le moins.

On s’est perdu cent fois, en partant chacun dans les bras de quelqu’un d’autre pour oublier.
Et on revenait toujours dans bras l’un de l’autre, mais avec toujours deux conceptions différentes.

Je ne comprends pas pourquoi je t’écris tout ca, tu ne liras pas.
Tu ne liras plus.
Mais c’est plus fort que moi.

Et plus j’écris, plus je t’aime.
Plus j’écris, plus je pleure.
Plus j’écris, plus tu me manques.

Je me noie dans des émotions qui n’en finissent plus.
Parce que depuis que tu es parti, les notions de sécurité, d’amour, et de perfection ont disparu de mon dictionnaire.

Et moi aussi je trouve ca injuste de ne pas t’aimer comme tu le veux.
Et moi aussi je trouve ca injuste de ne pas être a tes cotés mais a leur cotés.
Et moi aussi je trouve ca injuste de ne pas arrêter de penser à toi.

Je n’ai jamais voulu être face à cette situation, maintenant je la vis… et je la vis seule.

Je n’ai jamais su que des promesses en sang pouvaient s’effacer.
Je n’ai jamais su qu’on pouvait vivre à moitié.

« C’est écrit… Que les diables l’emportent. »

22 Fevrier 2010-

dimanche 21 février 2010

" Bala Wala Shi..* "


On ne se rend jamais compte jusqu’ou on peut aller et voyager dans le processus de nos pensées, jusqu’au moment ou on se surprend.
Comme si on était extérieur à nous-mêmes.

Pas la peine d’être plus précise, ce serait me mettre à nu.
Pas la peine de ne pas vouloir écrire, ce serait me torturer.

Je me suis surprise à penser a quand ca allait finir, alors que ca vient a peine de commencer.
Je me suis surprise à penser a comment j’allais avoir le cœur brisé, alors que tu viens juste de le recoller.
Et la, je me surprends à écrire, a t’écrire, tout ce que jamais je ne voulais dire.

Je cherche dans tes yeux une religion.
Une religion ou il n’y a ni souffrance ni croyance.
Une religion ou tout simplement je danse.
Je danse sur le rythme de ton souffle.
Une religion qui change avec le temps, mais qui ne meurt jamais.

Je cherche dans tes yeux une musique.
Une musique puisée dans les battements de ton cœur.
Une musique ou tout simplement je vis.
Je vis au rythme de tes yeux.
Une musique qui change avec le temps, mais qui ne meurt jamais.

Je n’arrête pas d’essayer de chercher des mots. Des milliers de mots.
Pour te dire toutes les choses à laquelle je pense.
Mais je n’arrête pas d’échouer.

Parce qu’a force de t’aimer, je finis par faire comme toi, ce que je n’ai jamais voulu faire…
PARLER AVEC LES YEUX.

21 Fevrier 2010-

dimanche 14 février 2010

Menage tes meninges, je suis "libre penseur".


Mes mots doivent avoir de bonnes raisons de se taire de temps en temps.
Mais il y a des jours ou ils se taisent pour les mauvaises raisons, et ca me révolte.

Ca me révolte d’avoir tant de choses à dire, pourtant aucune phrase ne veut prendre forme. Aucun mot n’est clair, et aucune émotion ne se transmet à moi jusqu'à la fin.

Ca me révolte d’avoir tant de choses à dire, pourtant aucun texte ne se termine. Aucune lettre n’est claire, et aucune émotion ne se transmet à moi jusqu'à la fin.

Et quand finalement elles décident de prendre une forme ces entêtées de phrases qui finalement se cognent et ‘ont plus de sens, tout coule comme un fleuve qui était bloqué par des pierres, comme des larmes emprisonnées par un sourire forcé.
Un sourire forcé... trahit par mes yeux.

Parce qu’entre ce que je crois et ce que je vois, il n’y a aucun sens.
Entre ce que je dis et ce que je pense, il n’y a aucun sens.
Tout le sens de ma vie réside dans ces petits bouts de mots qui se gravent sans que j’en prenne conscience.

Alors quand j’écris… je vis. Et quand je relis, je comprends.
Mais ce que je ne comprends pas… c’est tout ce qui m’entoure.

Ces gens qui n’écoutent jamais, ces gens qui ne pensent qu’a leurs propres intérêts, ces gens qui rendent le mal par le mal, ces gens qui n’ont a rien a dire.

Quand vous parlez, personne ne vous écoute. Et quand ils parlent, vous devez être un extraterrestre a 8 oreilles.

Quand vous les ignorer, c’est de l’irrespect. Et quand ils vous ignorent, c’est la théorie des sages.

Quand vous allez mal, ce n’est pas important. Quand ils vont mal, c’est le monde qui s’écroule.

Et bien moi j’aurais aucun problème que ce monde s’écroule sur leur tête pour de vrai. Parce qu’à partir d’aujourd’hui, « dent pour dent, œil pour œil ».

Alors quand j’écris… je vis. Et quand je relis, je comprends.
Mais ce que je ne comprends pas… c’est tout ce qui m’entoure.

Et bien, je vais être précise et claire.
Je ne crois pas en Dieu, je crois en la vie.
Je ne crois pas en la haine, je crois en l’amour.
Je ne crois pas à la prière, je crois à la musique.
Je ne crois pas à la hiérarchie, je crois à l’égalité.
Je ne crois pas aux religions, je crois à l’humanité.
Je ne crois pas au capitalisme, je crois au communisme.
Je ne crois pas à la science, je crois à l’art.
Je ne crois pas au racisme, je crois au même sang.
Je ne crois pas au futur et au destin, je crois au présent.

14 Fevrier 2010-

jeudi 21 janvier 2010

Souffle sur le sable, tu verras clairement.


Il y a juste des moments ou il faut arrêter ces mécanismes d’analyse dans notre tête, parce que les choses à laquelle on pense, sont tout simplement les choses à laquelle on pense !

Le pourquoi du comment, le qui du quand, le mais du donc !!

Stop.

Il y a des moments dans la vie, ou des personnes qui faisaient partie de notre quotidien ne sont plus la.
C’est normal. C’est humain. C’est le cycle de la vie.

Il ya des moments dans la vie, ou on ne peut pas avoir ce qu’on voudrait tant avoir. C’est aussi simple que ca parait.
C’est normal. C’est humain. C’est le cycle de la vie.

Il y a des moments dans la vie, on est tellement faible que ca nous met hors de nous. On ne se reconnait plu du tout.
C’est normal. C’est humain. C’est le cycle de la vie.

Il y a des moments dans la vie, ou on ne décide pas de ce qu’on ressent, de ce qu’on dit ou de ce qu’on voit arriver.
C’est normal. C’est humain. C’est le cycle de la vie.

21 Janvier 2010-

mercredi 20 janvier 2010

Sortir meme quand on est a l'abri..*


Tout ressemble à ce moment de silence sous le pont, ou tout est calme, ou on est a l'abri, et de part et d'autre il y a:
La route par laquelle vous êtes passé, je répète « passé », ou il pleuvait tellement fort que vous avez détestez la pluie, et celui qui a crée la pluie.

Et la route sur laquelle vous devez continuez parce que vous ne pouvez plus faire demi-tour, parce que c’est le chemin qui vous mènera ou vous aviez décidé d’aller.
Mais pourtant… Vous avez peur de continuer, vous avez peur de vous lancer, vous avez peur de vous perdre sous toutes ces gouttes de pluie...

C’est pendant ce moment sous le pont ou je ne sais plus quoi faire, quoi dire, qui appeler.
C’est pendant ce moment sous le pont, que j’ai une envie brutale d’éteindre la voiture et de tout arrêter.
Apres toutes ces idées qui m’embrouillent, je me dis et me répète que de toute façon je ne peux pas rester la éternellement. Il va bien falloir continuer un jour ou un autre.

Apres toutes ces idées qui m’embrouillent, je me dis et me répète que de toute façon je ne peux pas rester la éternellement. Et que peut être je serais plus à l’ abri sous le pont « Dantébras ».
Tout ressemble à ce moment de silence dans lequel je vis…

Entre une ancienne histoire d’amour que j’ai effacé, et une nouvelle histoire d’* que je n’ai pas envie d’écrire…

PS : Après avoir lu et révisé ce texte, l’auteur en personne, moi, a décidé de censurer « amour » après histoire…

20 Janvier 2010-

dimanche 3 janvier 2010

[ Reso-vo-lutions ]

C'est pas de nouvelles resolutions que je prends cette annee, c'est de nouvelles revolutions !!
Parce que ce que je deteste le plus au monde, c'est ces putains de promesses bla-bla que les gens ils font.. Et qu'ils ne tiennent jamais!

Meme si on sait que c'est du n'importe quoi, il y a un moment ou un autre ou on n'imagine pas que c'est autant du n'importe quoi!
Je suis pas revoltee du fait que ces gens ne tiennent pas leurs promesses, non.
Tout le monde le fait. ou plutot, tout le monde l'a deja fait une fois. Je fais aussi parti de ce "tout le monde"...

Mais la difference revoltante et ecoeurante, c'est que je ne perds pas mon temps a justifier que:
en fait, tu sais, je..., promets que, mais non, mais, tu sais, BLA BLA BLA!
Moi je vais vous dire ce que vous ne savez pas:
Je vous e-m-m-e-r-d-e!!
Parce que personne vous oblige a faire des promesses, de toute facon, j'en ai jamais demander et j'en veux pas de vos promesses!

Et le pire dans tout ca, c'est quand la situation se tourne contre vous.

La blague de l'annee 2009, qui ne se repetera pas en 2010!

3 Janvier 2010-