lundi 22 février 2010

" Elle rentrera blessee, dans les parfum d'un autre.."


Ce n’est qu’en t’aimant, que j’ai découvert que l’amour a différentes formes et différentes conceptions. Si la conception de l’amour est différente dés le début dans une relation, elle sera différente jusqu'à la fin, même si cette conception peut être remise en question des fois.

Je ne peux ni te parler ni te voir ni te regarder.
Tout ce que j’ai droit de faire, c’est t’écrire des mots que tu ne liras jamais.

Tu manques à ma vie, à mes délires, mes rires et mes sourires.
Tu manque a mon cœur, a mes pensées, mon monde insensé, et mon passé.

Apres 8 ans, tout s’efface, tout s’effondre, tout se perd.
Ca n’a pas de sens.
Ou plutôt je n’arrive plus à en trouver le sens.

Je n’ai aucune goutte d’encre dans mon stylo quand il s’agit de toi, mais j’ai toutes les gouttes d’eau dans mes yeux quand il s’agit de toi.

Ton absence me déchire, mais la vie continue.
Ton absence me vide, mais la vie évolue.
Ton absence me fait souffrir, mais la vie mue.

Revenir ne fera que te blesser, et partir me blesse à moi.

Mais il y a des moments ou toute décision est mauvaise, il faut choisir celle qu’on regrettera le moins.

On s’est perdu cent fois, en partant chacun dans les bras de quelqu’un d’autre pour oublier.
Et on revenait toujours dans bras l’un de l’autre, mais avec toujours deux conceptions différentes.

Je ne comprends pas pourquoi je t’écris tout ca, tu ne liras pas.
Tu ne liras plus.
Mais c’est plus fort que moi.

Et plus j’écris, plus je t’aime.
Plus j’écris, plus je pleure.
Plus j’écris, plus tu me manques.

Je me noie dans des émotions qui n’en finissent plus.
Parce que depuis que tu es parti, les notions de sécurité, d’amour, et de perfection ont disparu de mon dictionnaire.

Et moi aussi je trouve ca injuste de ne pas t’aimer comme tu le veux.
Et moi aussi je trouve ca injuste de ne pas être a tes cotés mais a leur cotés.
Et moi aussi je trouve ca injuste de ne pas arrêter de penser à toi.

Je n’ai jamais voulu être face à cette situation, maintenant je la vis… et je la vis seule.

Je n’ai jamais su que des promesses en sang pouvaient s’effacer.
Je n’ai jamais su qu’on pouvait vivre à moitié.

« C’est écrit… Que les diables l’emportent. »

22 Fevrier 2010-

dimanche 21 février 2010

" Bala Wala Shi..* "


On ne se rend jamais compte jusqu’ou on peut aller et voyager dans le processus de nos pensées, jusqu’au moment ou on se surprend.
Comme si on était extérieur à nous-mêmes.

Pas la peine d’être plus précise, ce serait me mettre à nu.
Pas la peine de ne pas vouloir écrire, ce serait me torturer.

Je me suis surprise à penser a quand ca allait finir, alors que ca vient a peine de commencer.
Je me suis surprise à penser a comment j’allais avoir le cœur brisé, alors que tu viens juste de le recoller.
Et la, je me surprends à écrire, a t’écrire, tout ce que jamais je ne voulais dire.

Je cherche dans tes yeux une religion.
Une religion ou il n’y a ni souffrance ni croyance.
Une religion ou tout simplement je danse.
Je danse sur le rythme de ton souffle.
Une religion qui change avec le temps, mais qui ne meurt jamais.

Je cherche dans tes yeux une musique.
Une musique puisée dans les battements de ton cœur.
Une musique ou tout simplement je vis.
Je vis au rythme de tes yeux.
Une musique qui change avec le temps, mais qui ne meurt jamais.

Je n’arrête pas d’essayer de chercher des mots. Des milliers de mots.
Pour te dire toutes les choses à laquelle je pense.
Mais je n’arrête pas d’échouer.

Parce qu’a force de t’aimer, je finis par faire comme toi, ce que je n’ai jamais voulu faire…
PARLER AVEC LES YEUX.

21 Fevrier 2010-

dimanche 14 février 2010

Menage tes meninges, je suis "libre penseur".


Mes mots doivent avoir de bonnes raisons de se taire de temps en temps.
Mais il y a des jours ou ils se taisent pour les mauvaises raisons, et ca me révolte.

Ca me révolte d’avoir tant de choses à dire, pourtant aucune phrase ne veut prendre forme. Aucun mot n’est clair, et aucune émotion ne se transmet à moi jusqu'à la fin.

Ca me révolte d’avoir tant de choses à dire, pourtant aucun texte ne se termine. Aucune lettre n’est claire, et aucune émotion ne se transmet à moi jusqu'à la fin.

Et quand finalement elles décident de prendre une forme ces entêtées de phrases qui finalement se cognent et ‘ont plus de sens, tout coule comme un fleuve qui était bloqué par des pierres, comme des larmes emprisonnées par un sourire forcé.
Un sourire forcé... trahit par mes yeux.

Parce qu’entre ce que je crois et ce que je vois, il n’y a aucun sens.
Entre ce que je dis et ce que je pense, il n’y a aucun sens.
Tout le sens de ma vie réside dans ces petits bouts de mots qui se gravent sans que j’en prenne conscience.

Alors quand j’écris… je vis. Et quand je relis, je comprends.
Mais ce que je ne comprends pas… c’est tout ce qui m’entoure.

Ces gens qui n’écoutent jamais, ces gens qui ne pensent qu’a leurs propres intérêts, ces gens qui rendent le mal par le mal, ces gens qui n’ont a rien a dire.

Quand vous parlez, personne ne vous écoute. Et quand ils parlent, vous devez être un extraterrestre a 8 oreilles.

Quand vous les ignorer, c’est de l’irrespect. Et quand ils vous ignorent, c’est la théorie des sages.

Quand vous allez mal, ce n’est pas important. Quand ils vont mal, c’est le monde qui s’écroule.

Et bien moi j’aurais aucun problème que ce monde s’écroule sur leur tête pour de vrai. Parce qu’à partir d’aujourd’hui, « dent pour dent, œil pour œil ».

Alors quand j’écris… je vis. Et quand je relis, je comprends.
Mais ce que je ne comprends pas… c’est tout ce qui m’entoure.

Et bien, je vais être précise et claire.
Je ne crois pas en Dieu, je crois en la vie.
Je ne crois pas en la haine, je crois en l’amour.
Je ne crois pas à la prière, je crois à la musique.
Je ne crois pas à la hiérarchie, je crois à l’égalité.
Je ne crois pas aux religions, je crois à l’humanité.
Je ne crois pas au capitalisme, je crois au communisme.
Je ne crois pas à la science, je crois à l’art.
Je ne crois pas au racisme, je crois au même sang.
Je ne crois pas au futur et au destin, je crois au présent.

14 Fevrier 2010-