samedi 31 octobre 2009

Le "Balayer Balaye"


Ma roue en bois, pour fonctionner d'une manière constante, a besoin que je la tourne moi même. Avec votre aide bien sur. Pour moi, c’est différent.

Enfin, c’était différent. Mais maintenant de retour au «Pour moi, c’est différent ».
Vous ne comprenez pas. N’est-ce-pas ? Rien à faire. Je n’écris pas pour vous faire comprendre quoi que ce soit. Parce que de toute façon, même si je vous demande de comprendre, chacun comprendra en fonction de ce qu’il ressent.
Et comme il y a un proverbe qui le dit : « Tu peux croire que les montagnes se déplacent, mais ne croie jamais que la nature humaine peut changer ».

Bref, je reviens au sujet principal : Ma roue.
Cette roue a toujours bien fonctionné sans Moi. Enfin, « bien » serait être très optimiste. Ma roue fonctionnait à l’aide du vent, ce qui veut dire naturellement. En fonction du sens du vent, de son intensité, de sa fréquence et sa fraicheur : des fois elle allait très vite, d’autres fois moins vite, elle pouvait s’arrêter, comme elle pouvait changer de sens.
Et puis un jour, j’ai décidé de lui donner des vacances, d’aller visiter d’autres roues.

Idiote que je suis.
Attendez, je ne m’en plains pas. C’était une décision consciente, réfléchie, et voulu.

Je me suis donc mise au travail pour la première fois depuis que la vie m’avait introduite cette roue.
Difficile ? Non. Parce que « quand on veut on peut ». Oui, proverbe international qu’on vous balance a la figure a chaque fois que vous devez faire quelque chose. J’ai donc fait tournée cette roue seule, sans l’aide de M. Le Vent. Avec amour, force, patience. Et avec une manière extraordinaire de faire les choses. Enfin, c’est mon point de vue personnel, mais avec objectivité. Contradictoire mais réel.

Mais, quand vous tournez dans un sens précis, et qu’il y a quelqu’un de l’autre cotée qui tourne dans le sens contraire, même si vous tenez pendant un bon moment et n’abandonnez pas, après ca ne sert plus a rien puisque ca n’avance plus.

La leçon que j’en tire ?
Comme je vous le dit tout le temps, il n’y a pas de regrets, juste des leçons.
Parce que faire la même erreur qu’on s’était promis de ne pas faire, est le meilleur moyen de vous apprendre qu’il n’y a pas d’exceptions.

Comme on dit en Afrique… C’est l’histoire du « Balayeur Balayé »

31 Octobre 2009-

mardi 27 octobre 2009

Le pourquoi des choses *


Parce que quand il s'agit de Lui, c'est tous les mecanismes de defenses qui s'evapore..
Parce que quand il s'agit de Lui, c'est des regards silencieux qui n'attendent rien en retour..
Parce que quand il s'agit de Lui, c'est un desir interdit qui grandit dans mon imagination..
Parce que quand il s'agit de Lui, c'est tout un rythme musicale que je decouvre..
Parce que quand il s'agit de Lui, c'est un chemin avec des pas de geant..
Parce que quand il s'agit de Lui, c'est mon courage qui devient ma plus grande faiblesse..
Parce que quand il s'agit de Lui, c'est tout un cosmos a lequel je n'ai pas acces..
Parce que quand il s'agit de Lui, c'est un reve magique que j'ai envie de concretiser..
Parce que quand il s'agit de Lui, c'est une paix interieure que je ressent..
Parce que quand il s'agit de Lui, c'est un tableau avec des couleurs qui parlent..
Parce que quand il s'agit de Lui, ce n'est plus le train qui qui s'arretent a differentes stations en vous laissant le choix de descendre, c'est un avion qui ne s'arrete qu'a la destination finale..
Parce que quand il s'agit de Lui, c'est des milliers de mots si fluants d'habitude qui se font avare..

Parce que quand il s'agit de Lui, c'est une peur de dire un jour "quand il s'agit de Moi"...


27 Octobre 2009-

jeudi 15 octobre 2009

MIRROIR.. MIRROIR.. REFLETE MOI L'HUMANITE.


Mettre un titre a ce que j'ecris veut dire categoriser ce qui va suivre.
Mais dans ce cas, je ne categorise pas. Je ne classe pas. Et encore moins j'essaie de decorer.
J'essaie juste de mettre en place des idees embrouillees. J'essaie de faire passer le message sans vous convaincre. Parce que de toute facon je ne cherche a convaincre personne. Je m'exprime.

On fait tous face aux memes problemes dans la vie.
On vit tous les memes echecs et les memes defaites.
C'est ce qui nous rend humain.
Mais ce qui est different, c'est que chacun de nous le prend a sa maniere, le surmonte a sa maniere, ou se noie a sa maniere. Chacun en tire sa propre lecon. Avec ses propres criteres, ses propres limites.
Mes limites ne sont pas les leurs. Les leurs ne sont pas les votres. Les votres ne sont pas, et ne seront en aucun cas les miennes.
Mais chacun ne se soucie que de ses limites, en oubliant celles des autres. Pire, en pietinant celles des autres.
Mediocrite Humaine
Et l'Egoisme Humain, n'en parlons pas.
Ils vous font fonctionner comme une bicyclette. Tant que vous pedalez dans le bons sens, c'est a dire dans le sens de leurs interets. Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Et je vous raconte pas le scenario du jour ou votre bicyclette est en panne..
Parce que c'est a partir de ce jour la que j'ai appris a compter sur moi meme, que sur moi meme et absolument que sur moi meme.
Si je tombe, je n'attendrais pas que quelqu'un me tienne par derriere.
Parce que SI (et je dis bien SI.. avec des Si on change le monde).. Parce que SI j'attendais du renfort, je ne serais pas tomber, je me serais enfoncee.


Oui. On fait tous face aux memes problemes dans la vie.
Oui. On vit tous les memes echecs et les memes defaites.
Mais ce qui me rend humaine, c'est que je pardonne et j'avance.
J'ignore et j'avance.

P S : Pour la bicyclette, essayer la marche a pieds, ca ne fait de mal a personne. Ou plutot, ca ne vous ferais pas de mal a vous :)

15 Octobre 2009-