mardi 17 novembre 2009

Et Pourtant..*


Peur, angoisse, insécurité.
Cœur brisé, morceaux à recoller.
Silence lourd, silence léger.
Attrape-moi la main … Ou Laisse-moi m’en aller.

C’est des millions de sentiments, enfermés dans mon silence.
C’est des milliers de tourments, causés par ton absence.


Et pourtant, je n’ai jamais vu quelque chose d’aussi beau.
Et pourtant, je n’ai jamais autant voulu tourner le dos.

Contradictoire, mais authentique.
Parce que justement cette fois, il n’est plus question d’imagination.
Je m’entraîne dans une histoire sans début et sans fin. Je m’entraine dans une chanson silencieuse avec le même refrain.
Je m’entraine, me rapproche, puis m’éloigne…
De mes propres mains.

Et pourtant, je n’ai jamais vu quelque chose d’aussi beau.
Et pourtant, je n’ai jamais autant voulu tourner le dos.

Tout dire sans rien dire, c’est ce qui dessine autant d’étoiles.
Mais comme tu le dis, tout est relatif.

Je peux donc comprendre ce silence comme je veux, alors que peut-être ce que tu dis, sans rien dire, n’est pas ce que je comprends.

Et pourtant, je n’ai jamais vu quelque chose d’aussi beau.
Et pourtant, je n’ai jamais autant voulu tourner le dos.

Et si… Et si je tourne le dos,
Tu me rattraperas, n’est-ce-pas ?
Attrape-moi la main… Mais ne me laisse pas m’en aller.


17 Novembre 2009-

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